A plusieurs reprises ces dernières années, les plongées répétées des pompiers-plongeurs ou des gendarmes-plongeurs n’ont pas permis de découvrir les corps de personnes noyées dans le lac d’Annecy ou du Léman. Le professionnalisme et le très haut technique de ces hommes n’est pas en cause, car tous les plongeurs savent bien que des plongées, soient profondes, soient prolongées, ou les deux, sont très saturantes en azote et limitent donc le temps de recherche et donc la zone de travail.
La gendarmerie suisse dispose d’un robot-sonar qui lui permet des recherches prolongées sur des étendues considérables sans limite de profondeur ni de temps. Ce matériel, dans le cadre d’une coopération internationale, a été utilisé avec succès à plusieurs reprises dans le lac d’Annecy. Chacun se souvient que 6 corps avaient ainsi été retrouvés en 2012. Certains séjournaient au fond du lac depuis plusieurs années.
Le SDIS 74, grâce à des financements départementaux et d’Etat, devrait disposer de ce matériel d’ici la fin de l’année (voir l’article du Dauphiné Libéré du 29 mars ICI). Un bon moyen d’augmenter l’efficacité des recherches et de préserver les hommes des services spécialisés. Les hommes de la gendarmerie nationale devront néanmoins plonger sur les corps pour faire les constatations d’usage avant de les remonter.
La gendarmerie suisse dispose d’un robot-sonar qui lui permet des recherches prolongées sur des étendues considérables sans limite de profondeur ni de temps. Ce matériel, dans le cadre d’une coopération internationale, a été utilisé avec succès à plusieurs reprises dans le lac d’Annecy. Chacun se souvient que 6 corps avaient ainsi été retrouvés en 2012. Certains séjournaient au fond du lac depuis plusieurs années.
Le SDIS 74, grâce à des financements départementaux et d’Etat, devrait disposer de ce matériel d’ici la fin de l’année (voir l’article du Dauphiné Libéré du 29 mars ICI). Un bon moyen d’augmenter l’efficacité des recherches et de préserver les hommes des services spécialisés. Les hommes de la gendarmerie nationale devront néanmoins plonger sur les corps pour faire les constatations d’usage avant de les remonter.